vendredi 20 novembre 2009
Abandon
Cette femme me ronge, ou est-tu? Que fais-tu? Je suis seul à lutter contre le spectre dévorant de ma muse si implicitement altière. Aidez-moi! Aidez-moi! Le cri d'un cœur moribond; Que je jouirais d'énucléer cet organe, symbole de bois du sentiment le plus prisé du genre humain. A tord je me saignerais, que la souffrance chronique qui m'emplit et me quitte depuis presque un an, tel le ressac érodant chaque jour un peu plus mon être de pierre. Sous l'effet d'une pensée, d'une vision abstraite d'elle, je frémit et me plisse comme un papier jeter dans une corbeille; Comme le sang elle m'est vital, courant sous ma peau, abhorrant les heures passées sans elle. Comme un animal de compagnie dont toutes femmes peut changer un homme, je déchirerais l'enfer pour elle, soufflerais les nuages contre mon grès et instaurerais une nouvelle oasis sur cette terre grené par les bombes.
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